Dernières nouvelles des baleines…

107 baleines échouées Nouvelle-Zélande

Les baleines pilotes, affublées aussi du nom scientifique barbare de globicéphales, peuvent atteindre 20 mètres de long et sont les baleines les plus fréquentes dans les eaux néo-zélandaises. Des promeneurs ont ainsi découvert dimanche plus d'une centaine de cétacés échoués sur une plage de Stewart Island, au sud de l'île sud du pays. Plusieurs dizaines étaient déjà morts et d'autres ont dû être euthanasiés. A cause de la chaleur, malgré l'action des sauveteurs, beaucoup mourraient avant d'avoir pu être remis à l'eau. En septembre dernier et début février, 80 baleines pilotes avaient à chaque fois, rejoint la côte pour s'échouer sur une plage. Les scientifiques n'avancent pour l'instant que des hypothèses comme un dysfonctionnement de leur sonar en eau peu profonde ou le fait que l'ensemble du groupe suive un membre malade.

Cependant, au regard de la proximité des dates des deux événements en septembre et actuellement, il est légitime de se poser la question du lien entre échouage tremblement de terre.

Les baleines pilotes auraient-elles ressenti des signes avant-coureurs du séïsme ?

Les ondes propagées auraient alors affecté leur sonar …

La Nouvelle-Zélande, est située sur la ceinture du feu, à la frontière des plaques tectoniques australienne et du Pacifique, et le mouvement de ces plaques aurait altéré le champ magnétique, de quoi désorienter la boussole interne des cétacés, comme si leur GPS interne n'avait plus fonctionné, entraînant leur naufrage. Rien n'est prouvé scientifiquement pour l'instant.

Coïncidence ou pas, en septembre dernier, lors de précédent tremblement de terre, 80 baleines s'était déjà échouées…

En revanche, Bonne Nouvelle pour les baleines ! Sea Shephred a fait plier le gouvernement japonais.


alt

Le Japon abandonne la pêche en Antarctique

Le Japon a annoncé vendredi l’interruption prématurée de sa campagne de pêche à la baleine en Antarctique afin d’assurer la sécurité des membres d’équipage et des navires a expliqué le ministre de l’Agriculture, regrettant que de telles agissements aient pu se produire. L'association écologique n'avait en effet pas lésiné sur les moyens pour harceler les baleiniers, usant de l’éperonage, et n'hésitant pas à aller jusqu'à l’abordage ou au sabotage des navires. L'organisation ne recule devant rien et a déjà prévenu qu'elle poursuivrait les bateaux japonais jusqu’à ce qu’ils quittent le sanctuaire des baleines de l’Antarctique. Pour riposter, la diplomatie japonnaise a demandé le soutien de l’Australie, la Nouvelle-Zélande et les Pays-Bas. Elle a appelé à prendre des mesures efficaces pour empêcher la répétition des activités d’obstruction de Sea Shepherd. Sans aucun succès !!! Au contraire, le ministre australien de l’Environnement, Tony Burke, a approuvé le résultat obtenu par Sea Shephed : je suis heureux que cette campagne soit terminée et l’Australie estime qu’il ne doit plus y avoir aucune autre campagne de pêche à la baleine. Le chef de la diplomatie néo-zélandaise Murray McCull, également. Il a accueilli avec satisfaction l’annulation de cette campagne, espérant parvenir à un accord qui prévoit l’élimination de la pêche à la baleine dans l’Antarctique…