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  • Pourquoi un 29 février ?

    L'année bissextile correspond à un phénomène calendaire qui survient tous les 4 ans.

    La raison est strictement astronomique.

    La rotation de la Terre autour du soleil se fait en 365,2422 jours environ.

    Un décalage se crée donc entre le calendrier humain et le cycle du soleil autour de la terre. Un retard à corriger pour ne pas se retrouver, au fil des jours, l'été en hiver et inversement…

    Pour que l'année dure bel et bien 365,25 jours (au plus près du cycle solaire de la Terre), Jules César, sur les conseils d'un astronome égyptien a rajouté un 366e jour tous les 4 ans à son calendrier julien. Et pour ne pas modifier le rythme des fêtes romaines, l’empereur avait créé un sixième jour bis en février.

    Les années bissextiles ont lieu tous les 4 ans, fréquence à laquelle un 29 février s'ajoute aux 28 jours habituels du mois.

    Comme tout ce qui est étrange et inhabituel, le 29 février a fait l'objet de croyances et superstitions.

    Jour de malheur en Ecosse, il est joyeux en Irlande : selon la tradition instaurée par Saint Patrick, les femmes sont incitées ce jour là à demander en mariage l'homme de leur choix. S'il refuse, il se doit de s'acquitter d'une amende qui prend la forme d'une paire de gants. La femme éconduite peut ainsi couvrir sa main afin que personne ne devine son statut marital.

  • 27 février-6 mars 2016 : Salon de l'Agriculture-Paris Porte de Versailles

    Cerise est la vache vedette de l’année !

    En effet, elle a été choisie pour figurer sur les affiches du 53e Salon international de l’Agriculture qui se tient à Paris, porte de Versailles du 27 février au 6 mars 2016.

    Elle a 8 ans, 1,5 m au garrot pour 800 kg, une belle robe grise et un caractère doux et paisible, expose son maître, Joël Sillac, 45 ans avant d’affirmer que c’est un honneur pour la race bazadaise. L’éleveur vit à Perquie, un village landais à 20 km de Mont-de-Marsan où l’exploitation familiale qu’il a agrandie au fil des années comprend aujourd’hui un troupeau de 160 vaches sur 160 ha, moitié herbe, l’autre en céréales, précise-t-il. Mon père m’a toujours appris que la qualité payait... résume l’éleveur.