16 mars 2018 : 18e Journée du Sommeil

76% des Français ont une durée de sommeil inférieure à leurs besoins, donc une sensation de fatigue au réveil (étude INSV 2014).

37% ont une mauvaise qualité de sommeil (baromètre Axa TNS Soffres nov 2014)

Le manque de sommeil est considéré par les spécialistes comme une véritable épidémie dans de nombreux pays. Cette dette, en réduisant la vigilance, altère l’attention, la concentration ainsi que les capacités l’apprentissage. A long terme, cela augmente les risques de surpoids et de vulnérabilité au stress, ce qui est susceptible d’engendrer maladies et troubles anxieux.

La journée du sommeil est l’occasion de sensibiliser sur les équilibres et les bonnes pratiques du sommeil. Par exemple : s’initier à la micro-sieste ou découvrir des techniques de relaxation, pour se ressourcer rapidement, lors de courtes pauses.

Animé par la volonté d’informer, l’INSV s’est intéressé de près aux 15 à 24 ans pour mieux en cerner le sommeil et les habitudes de vie et a choisi de dédier l’édition 2018 aux jeunes dans cette tranche d’âge.


Lycéens, étudiants, apprentis, en emploi ou en recherche,  les jeunes  s'endorment   naturellement  tard tout en ayant la  plupart du temps l’obligation de se lever tôt matin  durant la semaine. De plus, leurs soirées sont souvent consacrées à des activités sur écrans surtout sur internet : réseaux  sociaux et autres jeux  vidéos  en  connexion… Autant de facteurs qui maltraitent leur sommeil.

Utiliser les  technologies  de  l'information et de la communication représente un outil de développement et d’intégration indispensable mais aussi un réel danger pour leur santé.