Davos : impuissance et déni dominent le bilan

A la clôture des débats de la 41e édition, force est de constater que les décideurs mondiaux n'arrivent toujours pas à s'entendre pour agir contre le réchauffement climatique.
Et pourtant, selon Ban Ki-moon, secrétaire général de l'Onu, pour développer l'énergie renouvelable : notre ressource la plus rare est le temps !
Malgré son intensité, l'actualité internationale brûlante a été soigneusement tenue à l'écart.
En effet, les deux ministres tunisiens et le gouverneur de la Banque centrale, présents à Davos, ont refusé de s'exprimer sur l'Egypte où l'aspiration à la démocratie est aussi violente que sévèrement réprimée.
Quant au président russe, Dimitri Medvedev, venu pour séduire les investisseurs, il a préféré éviter le sujet de l'attentat à l'aéroport de Moscou…