Génodique : de la musique pour traiter les cultures

Supprimer les pesticides et soigner ses cultures avec des notes de musique, c’est possible avec la génodique.

Un gros mot pour désigner une pratique de la musicothérapie pour les végétaux…

L’idée semble folle mais le résultat est tout à fait prouvé même si les autorités scientifiques rechignent à le reconnaître.

130 producteurs français l’utilisent déjà, avec succès ! Pendant longtemps, l’arsénite de soude était la solution pour combattre l’esca, un champignon qui détruit les vignes. Lors de son interdiction en 2001, les vignerons se sont retrouvés à cours de solutions.

En 2009, ils ont décidé, en dernier recours, de tenter la génodique, la méthode de Joël Sternheimer, commercialisée par l’entreprise Genodics. 

Contre toute attente, une fois la bonne série harmonique décodée, l’esca est inhibé et les vignes sont sauvées !  Uniquement avec une à 2 diffusions de 7 minutes de musique par jour…

La protéodie améliore également la croissance des légumes

Un producteur de concombre de Loire-Atlantique utilisait la génodique pour lutter le didymella. Il a constaté que non seulement le traitement à éradiqué le champignon, donc diminué le nombre des pertes, mais il aussi de rendu ses légumes plus beaux…

Convaincu, il témoigne que la panne du diffuseur de musique pendant 3 jours a suffit pour entraîner le retour du didymella.

En attendant la reconnaissance officielle des savants, la méthode est aujourd’hui testée en laboratoire pour traiter les huîtres… Si les actions positives sur les cellules animales étaient avérées, rien n’interdirait plus d’imaginer qu’elle puisse, demain, soigner aussi les humains. Sans effet secondaire !


En partant du principe que la matière est à la fois matérielle et vibratoire, *Joël Sternheimer, un physicien de l’université de Princeton (USA) travaille le lien entre la synthèse des protéines, essentielles à la vie des cellules, et la musique dès les années 1960.

Le chercheur établit que les acides aminés qui composent les protéines s’enchaînent de manière régulière, et sont cohérents sur le plan harmonique si on les fait dérouler sur un appareil de musique. Le développement des protéines serait donc influencé par les ondes musicales.

Joël Sternheimer se passionne alors pour la protéodie : la mélodie des protéines. Grâce aux ondes de certaines notes de musique, il développe une méthode pour stimuler ou inhiber les protéines des organismes vivants, baptisée génodique, contraction de génétique et mélodique.

Le brevet, déposé en 1992, ne sera validé qu’en 2007, après de longues années de polémiques